1889… Le temps s'est arrêté dans les palais de verre éphémères de l'Exposition universelle de Paris. Les pavillons, avec leurs dentelles de fer, célébraient l'essor industriel et l'Art nouveau. C'est dans ce contexte exaltant que les cognacs Frapin ont été récompensés pour leur excellence.
Inspiré par l'Art nouveau, Paradis Perdu est une ode aux vignobles qui entourent le domaine Frapin. La parfumeuse Amélie Bourgeois s'est inspirée de l'immensité du territoire pour créer un parfum pétillant aux lignes courbes, à la fois onctueux et enveloppant.
D'abord, il y a un soupçon de sève, la nouvelle Ève de ce jardin d'Éden. Elle jaillit du sol dans le bruissement des racines de vétiver. Les sarments entrelacés de la vigne, signe de fraîcheur durable, voient la sève changer de couleur, passant du vert vif au vert foncé.
Le basilic, avec son audace, telle une nouvelle pousse, assombrit le vert intense des grandes feuilles de vigne. Le vert amer des feuilles d'épinard préfigure l'élégance fantaisiste de cette harmonie organique. À l'instar de l'Art nouveau, Amélie a surpassé la nature pour la pousser vers l'abstraction. Dans le courant dominant de cet art joyeux, elle a habilement joué avec des notes vertes exotiques, transformant le Paradisamide en Paradis.
Boisé aromatique
notes : Notes de tête : bergamote, pamplemousse, cédrat, mandarine jaune.
Notes de cœur : mélange de feuilles (basilic, épinard, raisin, ravensara), galbanum, élémi, paradisamide.
Notes de fond : vétiver, foin, cèdre de Virginie, bois de rose, labdanum, bois précieux, mousse, musc
Paradis Perdu, un parfum empreint de toute la vitalité du style Art Nouveau, est une ode aux vignobles qui entourent le domaine. Leurs coteaux verdoyants ont inspiré la parfumeuse Amélie Bourgeois pour créer une série de senteurs captivantes et fusionnelles, aussi enivrantes et gracieuses que les collections Belle Époque.
La vitalité des plantes, nouvelle Ève de ce jardin d'Éden, s'élève subtilement du sol dans un tourbillon de vétiver. Soutenue par des vrilles de vigne promettant une fraîcheur durable, elle passe du granuleux au vert foncé.
Le basilic et son audace juvénile adoucissent le vert austère des grandes feuilles de vigne. Le vert amer des feuilles d'épinard souligne l'élégance originale de cet accord biologique.
À l'instar de l'Art nouveau, Amélie Bourgeois élève la nature au rang d'abstraction. Servante de son art joyeux, elle joue avec brio avec des notes vertes exotiques qui confèrent à Paradisamide un caractère céleste.